Actuellement incarcéré, Wesley Snipes prépare son retour, avec quelques projets en tête…
Wesley Snipes a beau purger à l’heure actuelle une peine pour fraude fiscale dans un pénitencier de Pennsylvanie (et donc ne pas être dispo pour un Expendables 2, snif…), il ne perd pas de vue sa carrière cinématographique, qu’il entend bien reprendre à sa sortie (juin 2013). Visiblement pas confiné au mitard, l’acteur a pu s’exprimer à ce sujet lors d’un entretien accordé à IGN, alors qu’un jeu vidéo (sur iPhone) auquel il est associé vient de sortir (Julius Styles : The International). Interrogé sur la possibilité que ce dernier devienne un jour un film, l’acteur se fait affirmatif :
« Nous voulons vraiment faire un long métrage super cool, en partant de ce que nous espérons être un jeu vidéo à succès, avec des destinations exotiques, un riche mélange de suspense, d’action, et un twist malin. » Quant au concept du jeu, c’est « un amalgame entre les personnages d’espion/spécialistes de la sécurité que j’ai joué dans quelques films, d’un roman “de rue” [street novel] dont un ancien avatar de ma société de production, Amen Ra Film, a acquis les droits à la fin des années 1990 et d’un personnage interprété par Chow Yun-Fat dans une séries de films asiatiques intitulés God of gamblers. »
Pas contre un Blade 4…
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L’acteur aurait par ailleurs deux projets de SF en vue (rien de signé à ce stade), un film d’animation (Omandi Mech 5), et une adaptation (en film et en jeu) du roman graphique qu’Antoine Fuqua et lui-même ont conçu, soit After Dark (Radical Comics).
Enfin, concernant un éventuel quatrième volet de Blade (ah, on dresse l’oreille), Snipes ne dirait visiblement pas non, dans l’absolu… « On me le demande tout le temps, et ma réponse est : “dans les bonnes circonstances, avec la bonne équipe, oui, j’en ferais un autre.” Mais comprenez-moi bien, je ne suis pas là à attendre l’opportunité que ça se fasse. […] Ce serait sympa de réaliser quelques-unes des idées vraiment cools qu’on avait pour Blade, mais que nous n’avions pas eu la chance de pouvoir concrétiser. »
A.G. avec Latino Review